Comment coucher avec la mariée sans risquer de briser son mariage ?

15 Déc

Lorsque je reçu le carton d’invitation pour le mariage d’Amandine, je me souvins de cette soirée où nous avions failli coucher ensemble. Nous nous connaissions seulement depuis 1 mois. La cousine du colloc d’un ami. Nous aurions pu en rester à un simple repas convivial entre amis mais Amandine avait insisté pour me revoir. Me revoir sans notre ami commun étrangement absent ce soir là.

Ses plats épissés avait allumé ma bouche tout comme sa robe fendue excitée mon regard. Amandine, une belle brune aux formes plus que généreuses. Faussement prude dans sa façon de servir les plats. Elle savait éperdument que leurs saveurs m’envouteraient. Elle s’imaginait moins qu’un sort est une histoire qui se vit à deux.

Et dire que j’avais ramené une piquette amère qu’elle faisait semblant d’apprécier. Il était évident que ce repas n’était qu’une excuse, pour aborder le dessert comme un plat de résistance.

Elle me proposa des fraises – chantilly maison. Simple mais terriblement efficace. Nous les mangeâmes dans le salon sur son canapé d’étudiante assez petit et suffisamment inconfortable pour susciter naïvement le jeu accidentel de la séduction.

Un baiser, une caresse, un effleurement tout au plus. Amandine recula brusquement et préféra en rester là.

Après deux mois de silence radio, je recevais son carton d’invitation.

Pourquoi m’avait-elle invité à son mariage ? Fallait-il voir dans ce geste le message de détresse d’une jeune coquine refusant de s’enfermer dans le lit d’un mari unique ? Je décidais de reprendre contact avec elle. Je n’avais encore jamais couché avec une future mariée. Un pieux défi que je décidais de relever.

Ma principale préoccupation était de savoir comment coucher avec elle sans risquer de briser son mariage.

S’investir dans les préparatifs du mariage

Ma première approche était simple : gagner la confiance de tous en partageant ces moments d’émotions intenses que sont les préparatifs d’un mariage. Son fiancé était ravi de faire ma connaissance et heureux de voir mon enthousiasme solidaire pour chaque détail de la cérémonie. Ce que cette grande asperge ignorait c’est que plus la date du mariage s’approchait, plus mon emprise sur Amandine grandissait.

Elle ne cessait de répéter que ce jour devait être le plus beau jour de sa vie.  » Compte sur moi  » lui répétais-je sans arrêt. Je me pliais en quatre pour que ses désirs les plus fous se réalisent. Cet investissement sur-humain (je suis de nature paresseuse) justifiait surtout mes présences tardives dans son petit studio. Il fallait veiller tardivement pour qu’Amandine se livre un peu. Une enfance studieuse, des parents strictes. David était l’homme de sa vie. Le premier.

Petit à petit sur ce canapé dont je connaissais chaque tâche, chaque défaut, je commençais à comprendre ce qui conduirait Amandine à gouter de ma verge saillante.

Culpabiliser le mari

Je m’étais fait un point d’honneur à organiser l’enterrement de vie de garçon de David. Comme lui, ses amis étaient des geeks dépourvus, et d’idée et de testostérone. S’imposer comme le leader du groupe fut un jeu d’enfant. J’avais promis de respecter les souhaits du futur marié qui désirait  » par dessus tout […] une soirée sans excès « . Bien sur je mentais. Cette soirée serait le point de départ de mon entrée en scène…

Le plan se déroula comme prévu en 5 actes :

  1. Isoler le futur marié. Excepté moi, il ne devait pas y avoir de témoin,
  2. L’alcooliser,
  3. Lui offrir une stripteaseuse,
  4. Le pousser au vice,
  5. Le consoler.

 » Ne t’inquiète pas, je ne lui dirai rien.  » Le rassurais-je avant de claquer la porte de son taxi.

Dorénavant David ne serait plus un obstacle, il ne serait plus que l’ombre de lui-même.

Le mariage n’est ni le choix de la raison ni celui de l’amour

Tout futur marié doute mais tous ne doutent pas pour les mêmes raisons.

Amandine doutait, je le savais mais j’ignorai encore pourquoi. Dès que je le découvrirai, je revêtirai le masque de l’aimant.

La veille de la cérémonie, enfin, elle se dévoila. Alors qu’elle s’interrogeait sur la robe, le traiteur, les fleurs, le nombre d’invités, elle me demanda conseil pour la lune de miel.

Tout était plus clair.

Amandine ne doutait donc pas de son amour pour David, son engagement était sincère. Elle doutait de bien faire en lui offrant sa virginité.

Voilà donc pourquoi Amandine avait repris contact avec moi. Elle voulait briser son image de fille modèle, elle voulait se sentir amante avant de se sentir femme.

 » Faisons ce que nous aurions dû faire la première fois. Faisons l’amour, là, maintenant.  » lui dis-je.

Elle se tut, me regarda fixement.

Il ne fallait pas tarder.

Je la pris par les anches, glissa mes mains sous son pullover, dégrafa son soutien gorge, avala sa langue comme j’avais boulotté ses fraises quelques mois auparavant.

Elle recula, détourna son visage.

 » Tu avais déjà eu cette moue hésitante la première fois. Demain, je te donnerai ce que tu attends avant qu’il ne soit trop tard.  »

Les ancêtres comme seuls témoins

Le jour J toute les pièces du puzzle étaient en place : le mari se morfondait dans la culpabilité, la mariée était décidée. Du moins je l’espérais.

Issue d’une famille plus que bourgeoise, le mariage d’Amandine se déroulerait dans la chapelle de l’immense propriété de ses parents. Il était prévu que je la rejoigne dans une des absidioles de l’édifice, juste avant la cérémonie, pour répéter ses textes. Vile excuse que j’avais construit dès le départ pour me retrouver seul avec elle.

Une bleu écarlate, que seul les plus beaux jours de l’été savent offrir transcendait les vitraux de cette petite pièce confinée. Amandine était magnifique dans sa belle robe d’un blanc encore mérité. Je la parcourais remontant mes caresses vers sa nuque dégagée.

« Pas les cheveux, j’ai libéré la coiffeuse » me dit-elle prévenante.

Elle hésita une dernière fois lorsque je défis un à un le lacet de son corsage en s’écartant d’un pas vers l’avant.  » David s’est posé moins de question avec cette affreuse danseuse russe « . Elle s’en doutait.

«  Ce n’était pas nécessaire  » Jugea-t-elle froidement.  » Si Amandine, il le fallait  »

Elle frissonna, lorsque ses épaules se retrouvèrent nues et elle cacha délicatement ses seins lorsque sa robe glissa le long de sa chaire couleur crème.

D’un geste habile ma main lui retira sa petite culotte en dentelle. Elle me pointa le Christ qui semblait nous observer. Sa présence la gênait. Plus pour longtemps. Elle ouvrit une trappe.

 » Elle conduit à la crypte  » me dit-elle.

Visiblement, la trappe avait été préalablement décadenassée. Nous nous y glissâmes. Elle s’offrit à moi sur une stèle de ses ancêtres.

A la lueur de faibles rayons qui traversaient les maigres rainures du plafond, je distinguais à peine son visage. Mais ces petits cris étaient ceux d’une femme comblée. Ses saisies sauvages et maladroites sur mes épaules, mes cuisses et mes fesses étaient celles d’une femme qui en voulait. Ces petits coup de reins profonds et généreux montraient qu’elle apprenait vite comment se procurer du plaisir.

Lorsque ma langue ne rencontrait pas la sienne, elle se jetait sur ses tétons. Il y avait tant à faire, tant à lui donner et si peu de temps.

Puis, elle m’attrapa le sexe, le secoua un peu maladroitement, s’en redit compte se mit à genoux et me fit une fellation.

Telle une vaillante guerrière livre sa dernière bataille, elle s’acharna bravement jusqu’à en perdre souffle. Le goût de la victoire ne tarda pas à la draper d’un blanc bien moins innocent mais tout aussi méritant que celui qu’elle porterait dans quelques minutes.

Tout était fait, je pouvais maintenant m’éclipser.

Amandine était heureuse, c’était déjà la plus beau jour de sa vie.

Une Réponse to “Comment coucher avec la mariée sans risquer de briser son mariage ?”

  1. Massiou Belarde 19 décembre 2012 à 3:24 #

    j’adore 🙂
    good style.mais dans quelle catégorie classez vous votre nouvelle cher ami.
    mb

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