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2020 – L’autre prophétie Partie 3

20 Mar

Dans le précédent épisode :

Yxiel et Zwina deux enfants pro-créatifs de la République du Peuple bénéficient d‘un status privilégié : une Unité de Cohésion dans lequel ils vivent et l’Avantage vital, un  rations alimentaires suffisante pour survivre. Pour autant, ils ne sont pas à l’abris d‘une décision du Cercle des chercheurs qui pourrait les priver de ce bonheur : Yxiel se fait le pourfendeur d’un théorie du Renouveau Solaire contestée tandis que Zwina et Yxiel n’attendre toujours pas d’enfant.
La visite d’une Conseillère est prévue dans la journée. La sonnette de la porte sonne.

Son dernier battement d’ailes souffla sur l’humanité le parfum de leur fin

Zwina attrapa la télécommande sur le buffet et y saisit un code qui déclencha le mécanisme d’ouverture de la porte.

– Salimen, dit un homme de l’autre côté.
– Salimen, répondit Zwina comme rassurée de découvrir qu’il ne s’agissait pas encore de l’Inspectrice qu’ils attendaient. Elle lui fit signe d’entrer. L’individu s’exécuta puis tendit une petite boite.
– Un message d’Arlemagne pour Yxiel, dit-il.
– Un message ! Pourquoi n’est-il pas venu lui-même ? L’interrogea Yxiel méfiant.
Le porteur haussa les épaules tant par ignorance que politesse et déposa le petit paquet sur la table sans dire mot. Il les salua et sortit aussitôt. La porte se referma automatiquement derrière lui.

Yxiel analysait la boite du regard.
– Ouvre donc ! Le pressa Zwina.
Il eut un sursaut et attrapa la boite de peur que Zwina, curieuse de nature ne s’en empare. Il en examina toutes les facettes. Seuls le destinataire et l’adresse étaient inscrits à l’encre noir sur la face supérieure : « Pour Yxiel – Unité de cohésion B-16’78»

Yxiel reconnu l’écriture de son ami et collègue de l’Institut, Arlemagne.

– Certainement quelques notes d’Arlemagne étayant encore sa théorie ? S’énerva Zwina.
Zwina était très critique à l’égard Arlemagne. Il ne s’agissait pas d’antipathie envers l’homme, tout à fait charmant mais d’un agacement croissant sur l’emprise magnétique qu’il avait sur Yxiel et ce dès son entrée à l’Institut. Arlemagne avait été le premier à parler de la théorie du Renouveau Solaire. Yxiel s’y intéressa et, très vite, consacra la plupart de son temps libre à aider Arlemagne dans ses recherches et ce malgré les avertissements répétés de ses Pairs.

Yxiel perdu dans ses pensées resta silencieux. Il recevait souvent, c’était vrai, des notes manuscrites de son ami mais jamais de façon inattendues et il se déplaçait toujours en personne, de peur que ces avancées scientifiques ne soient perdues ou volées. En outre, cette fois-ci la boite lui semblait bien lourde pour ne contenir que des feuilles.

Yxiel déplia méticuleusement la feuille de papier qui emballait la boite. Il l’ouvrit et sortit comme s’y attendait Zwina une liasse de papiers griffonnés de calculs, de formules, de chiffres et schémas. Yxiel posa la boite sur la table pour se plonger immédiatement dans la lecture des notes d’Arlemagne. Il les lu d’abord dans l’ordre puis étudia plus précisément certaines pages. Silencieux, captivé par les notes qu’il lisait, il s’installa à son bureau, poussa quelques livres et, munit d’un crayon commença à annoter studieusement les feuilles à la marge.

– Une abeille ! Dit Zwina très étonnée en sortant un objet en bronze de la boite.
– Une abeille ?
Yxiel se retourna étonné. Il avait oublié le poids inhabituel du paquet. Il se releva précipitamment et lui reprit l’objet sans ménagement.

– Il s’agit de son presse-papier, il ne s’en serait séparé pour rien au monde, c’est très étrange, commença à s’inquiéter Yxiel. N’y a-t-il rien d’autre ? Demanda-t-il presque virulent.
– Non, pourquoi ? Tu sembles énervé.
Yxiel balaya les doutes de Zwina d’un geste presque tendre de la main avant de regagner son bureau. Il posa l’abeille sur un des tas de livres.

– Pourquoi donc nous avoir donner cette fichue abeille ? S’agaça Zwina. Ton ami est vraiment bizarre. Je ne suis pas la seule à le penser. Tu ne devrais plus le fréquenter. Se serait déjà un premier geste pour calmer tes Pairs de l’Institut. Tu sais qu’ils ne voient pas son travail d’un très bon œil.

Yxiel assit sur son bureau s’était déjà replongé dans l’analyse des notes de son ami. Bientôt les coins de feuilles ne lui suffirent plus. Il commença à fouiller dans ses piles de livres quelques brouillons encore vierges sous le regard agacé de sa compagne. Par mégarde, il renversa la pile sur laquelle trônait l’abeille qui chuta. Il la rattrapa in extremis.
Son dernier battement d’ailes souffla sur l’humanité le parfum de leur fin, dit-il en lisant l’inscription gravée sous le socle de l’abeille.
– Que dis-tu ? Demanda Zwina.
– Je n’avais jamais remarqué cette annotation auparavant, pensa-t-il avant de répondre à Zwina. Il s’agit du mythe des abeilles.  Pour Arlemagne, leur disparition est le point de départ de tous nos malheurs mais aussi de ses recherches sur le Renouveau Solaire. Le destin des abeilles étant pour lui lié à celui de l’astre solaire.

– Une preuve de plus que ton ami a tord ! Les abeilles ne sont plus, nous, nous sommes toujours vivants et le soleil brille toujours. En outre, la science n’est-elle pas parvenue à combler leur absence ? Des millions d’abinautes pollinisent maintenant nos fleurs et en plus, elles, ne piquent pas.

Zwina eut une moue de satisfaction.

– Tu as raison Zwina, tu as raison.
Yxiel économe en parole ne souhaitait pas tergiverser sur ce sujet. Zwina tenait le discours officiel qu’il avait aussi mainte fois entendu. Mieux valait s’y tenir.

Certes les abinautes pollinisaient comme hier les abeilles mais ces drosophiles mutantes ne produisaient pas de miel, tuaient quiconque les mangeait et se multipliaient au point de mettre en danger la survie des plantes non transgéniques dont elles se nourrissaient.
Pour Yxiel, ces abinautes étaient des monstres de laboratoires, un symboles du pouvoir actuel : artificiel et mensonger.

Yxiel défroissa la feuille qui avait servit d’emballage au paquet. Cela ferait bien l’affaire pour crayonner quelques lignes de calculs en plus. Il commença à étaler ses chiffres tout en se souciant d’économiser au mieux la surface du papier, écrivant au plus prêt de l’inscription lue par le messager. Arrivé au bout de sa page, il tourna la feuille pour reprendre rapidement son savant gribouillage quand il s’arrêta brusquement. Au verso se trouvait une série de chiffres accompagnée d’un commentaire :
« Nous partons. Rejoins-nous : 49 ° 30 ′ 00 ″ – 123 ° 30 ′ 00 ″ »

Zwina intrigué par le silence de son compagnon se rapprocha d’Yxiel.
– Yxiel, promet moi que tu ne reverras plus cet Arlemagne, s’il te plait.
Yxiel réduisit la feuille en boule et la jeta dans la poubelle sous son bureau.
– Je te le promets Zwina, je te le promets.
– Merci, c’est pour notre bien.
Ils s’embrassèrent. De nouveau la sonnette de la porte retentit.

2020 L’autre prophétie – partie 2

20 Fév

Dans le précédent épisode :

Zwina se réveille en pleine nuit. Le froid qui règne dans la chambre, suite aux nouvelles restrictions imposées par la République du Peuple, mais aussi l’angoisse de la visite de la Conseillère des Enfants pro-créatif la tourmente. Yxiel, son compagnon, dort lui paisiblement et ce malgré les polémiques sur sa théorie du renouveau solaire, jugée, par le Cercle des Chercheurs, subversive au fondements de la République. Sa chair à l’Institut du Redressement Humain tout comme leur accréditation à l’Avantage Vital sont menacés. Zwina finit par retrouver le sommeil blottie contre son compagnon.
Lire l’épisode 1 : Un réveil sans sommeil.

Une visite surprise

Comme toutes les filles, Zwina avait suivi, dès le plus jeune âge, une éducation privilégiant la musique, la danse, l’artisanat mais l’excluant des sciences, de la philosophie et de la politique, matières réservées aux garçons. Mais pas tous. Une analyse génétique pré-natale permettait, en-effet, de sélectionner les enfants masculins les plus prometteurs. Yxiel avait été génotypé XY-24, ce qui le prédestinait à de grandes études scientifiques. Il fut donc dès la naissance intégré à un programme pour lui permettre d’exploiter ses prédispositions. Recueilli dans un foyer adapté aux XY-24, il pu grandir au milieu d’autres garçons tout aussi prédestinés.

Les études les plus longues, comme celle des XY-24, duraient jusqu’à l’âge de la majorité, fixé à 15 ans. Tous les élèves n’obtiendraient cependant pas de Certificat de fin d’étude, sésame d’une vie meilleure et, parmi les diplômés, un seul obtiendrait une chair à l’Institut du Redressement Humain.

Cette sélection ne dépendait pas du niveau scientifique atteint, puisque tous les XY-24 avaient subit un formatage intellectuel identique. Non, la sélection ultime se fondait sur le phénotype des garçons devenus adultes.
Or, parmi tous les critères phénotypant, un seul était déterminant car rarissime : le potentiel de reproduction. L’Ère du Changement était en effet marquée par une stérilité qui mettait la survie de l’espèce humaine en danger. La République du Peuple se devait donc de privilégier au sein des XY-24, les spécimens les plus puissants.

Yxiel semblait avoir été béni par la nature. Son phénotype était encore plus remarquable que son génôtype. Yxiel était un XY-24 typé Alpha-i. Cette qualification insolite lui permit d’obtenir non seulement la chair à l’Institut du Redressement Humain mais aussi d’accéder au rang d’Enfants pro-creatifs.
Aussi, diplôme en poche, la République du Peuple lui présenta 3 femmes correspondant à ses géno-critères. Yxiel choisit l’une d’elle au hasard mais il se garda bien de le dire. Il se devait, en-effet, devant témoin, de justifier son choix. La République du Peuple n’accordait rien au hasard.

Yxiel n’était pas grand, Zwina était la plus longiforme des trois. Il justifia donc son choix par la taille : leur union devait génétiquement procréer des enfants de grandes tailles, ce qui était particulièrement apprécié par la République.

Le réveil sonna. Zwina et Yxiel basculèrent leur bracelet en mode jour. Zwina embrassa Yxiel dans le coup.

– Plus qu’une UT avant le passage de l’Inspectrice, lui chuchota Zwina dans l’oreille.
– Je sais, je ne vais pas tarder, la rassura Yxiel.

Zwina quitta la chambre pour se rendre dans la pièce principale qu’elle balaya du regard. Une table avec un pichet d’eau, deux verres et une boite en fer, quatre chaises, un buffet et un petit bureau sur lequel de nombreux livres se bataillaient l’espace.
Elle prit le pichet et remplit les deux verres. Puis, elle ouvrit la boite en fer et sortit trois gélules. Elle avala la plus petite, une verte, avec un grand verre d’eau. Puis posa les deux autres, des bleues, près du second verre. Yxiel entra à son tour dans la pièce. Il s’assit à la table, avala ses deux gellules et bu le verre d’une traite. Il ouvrit ensuite la boite.
– Ce sont les dernières, précisa Zwina
Yxiel fit une grimace.
– Ne t’inquiète pas.
Zwina debout derrière lui caressa tendrement le dos.
– Ne t’inquiète pas, répéta-t-elle, l’Inspectrice devrait nous valider un nouvel approvisionnement. A cet instant, une sonnette douce retentit. Zwina se redressa, l’air étonné.
– Déjà ! Elle ne devait arriver que vers 7 UT.
– Tant mieux, je dois encore travailler mon discours. Plus tôt, elle arrive, plus tôt, nous en aurons fini avec elle.
Zwina attrapa la télécommande sur le buffet et y saisit un code qui déclencha le mécanisme d’ouverture de la porte.

Lire la suite : Son dernier battement d’ailes souffla sur l’humanité le parfum de leur fin.

2020 – L’autre prophétie – partie 1

5 Fév

Un réveil sans sommeil

Zwina se réveilla en sueur. Il était 5h du matin. Deux nuits déjà qu’elle se réveillait ainsi, en pleine nuit, suite à un mauvais rêve. Mais cette fois, ce cauchemar l’avait glacé, transit d’une raideur glaciale. Elle détourna son regard du réveil mural pour fixer la fenêtre de leur petite chambre. Exceptés le lit et une commode tout juste suffisante pour ranger leurs tenues de travail, aucun autre meuble ne venait encombrer la pièce. C’était la règle.
Dehors, l’astre lunaire offrait suffisamment de lumière pour percevoir les dernières feuilles de l’automne toupiller autour de leur pédoncule. Cette vue fit frissonner un peu plus Zwina.

Elle tourna la tête et se rapprocha d’Yxiel son compagnon. Son lent souffle chaud la réchauffait mais elle tira encore la couverture vers elle. Zwina avait très froid, plus froid que d’habitude

– Satané République, pesta-t-elle à voix basse.

C’est vrai que cette fin d’automne était froide. Plus froide que les années précédentes et Zwina, n’était certainement pas encore habituée aux nouvelles restrictions imposées par la République du Peuple. Pour la première fois en effet, le chauffage avait été coupé.

Cette restriction s’ajoutait à celles déjà mises en place ces derniers temps. Après le pétrole dont il ne restait de toute façon plus une goute, après l’énergie nucléaire jugée trop dangereuse suite aux accidents ravageurs condamnant tout l’Est du continent, la dernière source d’énergie encore exploitable, l’astrothermie devait être économisée. Pour Zwina, tout comme Yxiel, cette privation démontrait que la République du Peuple avait de plus en plus de mal à approvisionner la population en énergie.

La République, elle, cachait cette déficience derrière des études scientifiques prouvant qu’il ne faisait pas plus froid qu’avant et que les habitants de Nova usaient abusivement du chauffage. Quelques Anciens avaient vainement tenté de protester. La République estima que leur frilosité était une simple conséquence de leur sénilité. Ces opposants furent internés dans des Hospices de Récupération pour étudier leurs symptômes. La polémique s’étouffa d’elle-même.

Yxiel n’était pas un Ancien mais lui aussi avait contesté cette décision. Il fut un des rares scientifiques à contre-dire les mesures sur lesquelles s’appuyait l’étude. Tout comme les Anciens, Yxiel connaissait le degré Celsius, l’ancienne métrique de la température, abandonnée depuis l’Ère du changement. Aujourd’hui, il faisait officiellement 5°Polaire ce qui équivalait à -37°C. Il s’agissait donc pour Yxiel d’un automne extrêmement inhabituelle.

Yxiel trembla. Zwina l’enlassa. Il était très stressé ces derniers temps. Ces prises de paroles de plus en plus polémiques et ses recherches sur la théorie du Renouveau Solaire gênait de plus en plus la République. Le Cercle des chercheurs, bras scientifique de la République le menaçait maintenant de perdre sa chair à l‘Institut du Redressement Humain s’il n’abandonnait pas ses recherches jugées subversives aux fondements de la Répubique.

Zwina lui caressa le dos. Il dormait nu car il n’avait, lui jamais froid. Elle se blottit contre lui pour profiter de ce chauffage naturel, s’apaisa et retrouva vite le sommeil.

Le lendemain serait une journée importante pour eux, dans quelques heures, ils recevraient la visite d’une Conseillère des Enfants pro-créatif. Elle viendrait juger de la solidité du couple et confirmer leur accréditation à l’Avantage vital.

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La culotte de mamie…

7 Nov

… ou comment coucher avec une femme cougar ?

Les femmes cougars sont culottées

Le titre fait peur. Quelle pire image que celle qui nous vient à l’esprit en prononçant « La culotte de mamie« . Propre ou pas, la culotte de manie est un sujet tabou. Il existe, en -effet, un postulat, celui de Dan’yonku Vasimass : « La culotte de mamie, ou couche sénior, symbolise la sénilité et toutes ses conséquences ». Un culotte de mamie donc, on ne la touche pas, on ne l’évoque même jamais. C’est un objet qui n’existe pas, sauf dans les fonds de tiroirs.

Florent Lemarchand est un jeune blogueur aux tendances actuelles. Après diverses expériences dans le monde de la publication, il écrit et décrit ses passions. Il partage cette fois, son expérience avec une femme qui joue la femme cougar. Un oeil nouveau sur cette culotte qui pourrait vous faire vivre votre prochain fantasme.

Au fond du tiroir il y a toujours une culotte de mamie

Nous les hommes, sommes réputés pour conserver des reliques d’adolescences. Oui, c’est vrai, mais chacun de ces vestiges racontent une histoire. Le premier boxer, le premier slip kangourou. Celui-là tient, avec ces motifs ridicules. A juste titre, il s’agit d’une collection !

Les femmes, elles, consomment de la dentelle inusable et délicate. Leur tiroir est, plus qu’une collection, un musée.

Une grande différence existe entre les deux sexes : les sous-vêtements masculins ne s’héritent pas. Ceux des femmes si parfois, accidentellement. Ainsi, en ouvrant le tiroir de la vieille commode de Sophie en ce dimanche matin, mes yeux s’écarquillèrent sur une pièce dont je n’aurai pu suspecter l’existence.

Sophie : « Ah la culotte à mamie », me dit-elle en l’enfilant.
Florent : « C’est quoi ce truc ? »
Sophie : « Bah la culotte à mamie ! »
Florent : « On dit de mamie. »
Sophie : « Mais puisque je te dis qu’elle vient de ma mamie. »
Florent : « Mais tu as conscience que tu la portes là ? »

Elle se regarde les hanches et fait claquer mollement l’élastique de sa vieille culotte.
Sophie : « Idiot je l’ai lavée, elle est super confortable », elle glousse.

Je cherche mon calençon comme pour me délivrer de cette vision anti-sex. Elle me demande de m’assoir près d’elle. Elle me prend la main, y croise ses doigts puis les posent sur sa belle poitrine.
Sophie : « J’ai perdu le haut dans son déménagement.
J’écarte ma main.  Elle s’allonge sur le lit et cambre exagérément son dos.

Un jeu coquin autour de la culotte d’une cougar

Sophie : « Ma grand mère a été élevée dans un couvent jusqu’à sa majorité. Elle n’en était pas moins curieuse et gourmande. »

Et tout d’un coup, je découvre Sophie en femme cougar : le fantasme du moment sans les inconvénients. Elle se presse la peau sur le côté.
Sophie: « Ces micro-ridules auraient besoin de soins intensifs. »
Elle se caresse jusqu’au nombril, fait glisser ses jambes l’une contre l’autre.
Sophie: « J’ai un peu d’arthrose mais, mes cuisses ont besoin d’exercices (elle lève les jambes). Mes seins, eux sont pas mal pour mon âge. Tu voudrais pas venir les examiner ? »

Je m’approche et joue son jeu.
Florent : « Comment vous appelez-vous  déjà ? »
Sophie : « Jeannine »
Florent : « Je détecte en effet quelques enquilosements, rien de très grâve, rassurez-vous. »
Jeannine : « C’est-à-dire que dans cette institue on ne sort pas beaucoup, vous voyez. »
Florent : « Passons aux assouplissements. »
Jeannine : « Ca fait bien longtemps, qu’un petit jeune ne m’avait pas autant retournée. »
Florent : « Je crains que cela ne dure plus longtemps que prévu. »

Quelques conseils pour séduire une femme cougar

1- Etonnez-là avec des sex-gadgettes

Utilisez un sex-tox pour une femme cougar, c’est comme découvrir le dernier I-pod, pour vous. Les femmes cougars, sont plus cochonnes. Elles osent bien plus de choses. Sex-counter, masseurs sexuels utilisez-les pour conserver cette femme infidèle.

2- Ayez une petite amie

C’est le meilleur moyen pour ne pas tomber dans le modèle « Crise de quarantaine prête à vivre à l’autre bout du monde avec vous ». Soyez claire dès le début, vous c’est plan sexe. Celles qui veulent comme vous sont celles à garder dans votre réseau. Elles adorent faire partie d’un réseau.

3- Donnez-lui un pseudo

Appelez-là « Coeur« , enregistrez-là sous « Biz75« . Combien de temps cela fait-il qu’on ne l’appelle plus que « Maman » ? Avec vous, la femme cougar vie une autre vie. Adopter une autre identité, c’est incarner sa femme cougar.

4- Racontez-lui vos fantasmes

Une femme cougar n’a pas besoin d’écouter vos derniers exploits. Elle a déjà ses enfants pour ça. Elle ne souhaite pas s’émerveiller de vos prouesses. Exceptées vos prouesses sexuelles.
Partagez avec elle vos fantasmes les plus secrets. Défiez-là, les femmes cougar sont joueuses.

5- Soyez classe

Coucher avec une femme cougar, c’est cher. N’imaginez pas l’emmener dans votre chambre étudiante. La femme cougar prise les hôtels. Elles ont un statut social qui mérite de notre part, jeune apollon de leur yeux, une attention toute particulière.

Vous ne regarderez plus jamais votre mamie comme avant. Grâce à Florent Lemarchand, après la nourriture pour chat chez les septuagénaires, un nouveau tabou est tombé : la culotte de mamie, un objet de désire et de fantasme.

Florent Lemarchand n’a plus jamais revu Sophie. Piégée dans son fantasme, elle n’avait pu tourner la page. Lui, avait d’autres perspectives. Deux femmes qu’il allait bientôt emmener dans un parc. Un nouveau fantasme pour Florent Lemarchand.

Découverte scientifique : le réflexe anti-sex

16 Fév
Le réflexe anti-sex est l'espression de notre génôme

L'origine du réflexe anti-sex serait dans notre génôme

 » Elle a une sacrée grosse chatte » déclara Paul en parlant de la robe tachée de sa femme devant toute la belle-famille à la sortie de l’église lors du baptême de Marie-Madeleine, leur première fille.

Comme Paul, nous avons tous déjà été victime d’un lapsus révélateur : ces petits mots que l’on glisse accidentellement et en toute innocence dans une élancée lyrique, généralement devant tout un parterre de monde qui, pour une fois, vous écoutait. Au mieux cela fait rire. Au pire, ces lapsus remémorent des souvenirs comme à Erwin, le cousin de la femme de Paul qui confirmera la protubérance de l’appareil génital de sa cousine, observé lors de vacances à la Baule en 78.

Les paroles donc, mais les gestes, aussi, peuvent nous trahir. Certains de ces gestes seraient d’ailleurs inconscients. C’est ce que vient de mettre en évidence une équipe internationale de généticiens avec la découverte du réflexe dit anti-sex.

Quel est l’origine de ce réflexe ? Comment s’en prémunir et sauver sa vie sexuelle ? Enquête exclusive sur cette découverte scientifique majeure.

Le réflexe anti-sex, vous êtes peut-être concerné !

« Il ne s’agit ni d’un T.O.C. (Troube Obsessionnel Compulsif), ni d’une forme mécanique du syndrome de la tourette. Ce réflexe est la résultante entre un stimulus et votre patrimoine génétique« , nous précise le Professeur Dan’yonku Vasimass, à l’origine de cette découverte scientifique  qu’il soumettra à l’Académie de Médecine dans les prochains jours.

L’éminent chercheur me donne rendez-vous dans ses laboratoires. A peine arrivé, il me demande de m’asseoir, me soulève la cuisse et me frappe le  genoux avec un marteau. Ma jambe se lève. « Là vous avez eu un réflexe » me dit-il. Il s’absente et revient avec un vieux slip qu’il me demande de sentir. Je plisse le nez, m’approche et renifle par a coup bruyants, les babines entre-ouvertes. « La vous venez d’avoir un réflexe anti-sex – il rigole – si j’avais été une femme, vous n’auriez quasiment aucune chance de coucher avec moi« .

Comme près de 80% de la population, je suis donc atteint. Je suis victime du réflexe anti-sex. D’après le professeur, toujours hilare, ce réflexe limiterait ma libido et mon épanouissement sexuel.

Quelle est l’origine de ce réflexe ?

Au départ, le professeur devait étudier l’impact de la transpiration sur des sous-vêtements masculins.

Sentir le slip des autres, un reflexe anti-sex

L'étude s'est principalement basée sur des tests en laboratoire

Les volontaires ne devaient pas changer de slip pendant 3 jours.  Lors de la délivrance testiculaire (retirage de slip), le professeur remarqua que 87 % des hommes reniflait le fond de leur slip.  « Ils savent que l’odeur ne va pas être forcément agréable et pourtant… ils le font ! » s’enthousiasme Dan’yonku Vasimass avant d’ajouter « et plus la délivrance testiculaire arrive tardivement, plus le taux de reniflage augmente« .

Le professeur oriente alors ses recherches sur ce phénomène. Rapidement il isole le gêne responsable de ce réflexe : ET-X-69, une chaîne de 5 acides aminés. Après synthèse en laboratoire, il l’injecte dans des rats. Le résultat est sans équivoque. La libido des rates diminuent de 75 %. « Les mâles reniflaient leur cul avant de s’accoupler, ce qui avait un effet anti-sex auprès de la femelle« .

Les impacts sexuels du réflexe anti-sex

La présence de ce gêne se traduit donc par le reniflage grimaçant de ce qui potentiellement pue le plus dans l’environnement proche lors d’un accouplement.

Très vite, le professeur passe de l’animal à l’homme. L’expérience dite de « l’ongle en fin de vie« , corrobore l’analyse. « Les résultats sont mêmes meilleurs, puisqu’il y a un lien plus fort, presque affectif ou charnel entre l’individu et son ongle qui pue ». Sa théorie s’appuie sur près de 5 années d’observation.

Les impacts de type sexuel liés à la présence du gêne ET-X-69 sont les plus nombreux :

  1. le nombre de partenaires sexuels en une vie passe de 8 en moyenne à 3
  2. le nombre de rapports sexuels hebdomadaires est quasiment divisé par deux
  3. un premier rapport sexuel plus tardif que la moyenne
  4. des sécrétions naturelles sur-odorantes

D’autres symptômes physiques ont été observés en fonction de l’exposition plus ou moins longue ou répétée aux odeurs : halènes de chacal, dents jaunes, rides d’expressions prononcés, pousse spontanée de poireaux, attirance voire dépendance aux éléments nauséabonds, destruction de l’odorat ou encore rictus du plissement nasale.

Une thérapie génique en cours d’élaboration

Cette découverte représente une véritable aubaine pour les laboratoires pharmaceutiques qui travaillent déjà sur une enzyme inhibitrice d’ET-X-69 : la CLIT-27. Bayer aurait déjà investit près de 2 milliards d’euros en joint-venture avec une grande entreprise de soda.

« 80 % de la population possède le gêne ET-X-69 dans son patrimoine génétique. S’il s’exprime, les victimes ont  20% de chance de plus de rester célibataire,  l’insertion sociale est plus difficile et l’âge de leur premier rapport sexuel est – en moyenne – retardé de 17 mois  » nous liste M. Benkich, le frêle Chef de Produit de la futur boisson atteint d’ET-X-69.

Selon son manager, ces buveurs du soda corrigeraient cette tare génétique et au final »baiserez plus, plus souvent et plus jeune« .

Comment diagnostiquer ET-X-69 ?

Un moyen très simple permet de savoir si vous êtes porteur ou pas d’ET-X-69 : après le sport, placez vos chaussettes dans un tupperware  au frigo et attendez au minimum une semaine.

Si cette période est trop longue pour vous, c’est sûr vous êtes atteint du reflex anti-sex.

Si passez ce délai, vous ne pouvez vous empêcher de renifler la boite avant de la laver alors vous êtes aussi porteur d’ET-X-69.

Ne perdez pas espoir, la boisson du Professeur Dan’yonku Vasimass sera commercialisée d’ici 6 à 7 mois.

Vous vous êtes reconnu dans cet article ? N’hésitez pas à nous écrire (en commentant l’article). Vous serez peut-être sélectionné pour intégrer le programme de recherche du Professeur. Surtout précisez-nous vos kiff olfactifs !

Auteur : Florent Lemarchand

Le potentiel narratif

28 Jan

Le potentiel narratif - Florent Lemarchand

Le potentiel narratif

Qu’est-ce que le potentiel narratif ?

Le potentiel narratif est une philosophie de vie : savoir extraire de chaque événement de son quotidien, le synopsis d’une ou de plusieurs histoires.

Comment juger son potentiel narratif ?

Trois sources pour estimer votre potentiel narratif : vous, votre entourage et vos collègues.

  • Vous
    Vous pleurez souvent en pensant à votre vie.
    Il vous arrive des choses que personne n’a vécues ou ne comprends.
    Vous avez observé des phénomènes auxquels personne ne croit .
    Vous avez perdu au moins 3 fois votre téléphone (portable) mais êtes certain qu’on vous l’a volé.
  • Votre entourage
    Ils parlent de vous en ajoutant des adjectifs synonyme de looser, beauf, bizarre ou différent.
    Ils ne vous appellent pas ou juste lorsqu’ils déménagent ou cherche un baby-sitter gratuit.
    Vos parents ont déjà tenté une procédure de « divorce » à votre encontre, au mieux vous êtes déshérité.
  • Vos collègues
    Vous n’en n’avez pas car vous êtes au chômage.
    Ils écoutent vos histoires tout en « travaillant ».
    Ils vous appellent « Julien » ou « Monique » et pense que vous travaillez à la compta alors que cela fait 5 ans que vous partagez le même bureau.

Si vous vous êtes reconnu, réjouissez-vous, vous avez un énorme potentiel narratif.

Détecter un potentiel narratif :

Dans n’importe quelle situation, l’utilisation d’un des mots suivants doit éveiller immédiatement en vous le potentiel narratif de ce que vous vivez : désastreux, calamiteux, catastrophique, déplorable, désagréable, fâcheux, fatal, lamentable, malheureux, mauvais, néfaste, nuisible, piteux, pitoyable, nul, ruiné, catastrophique, panique, drame, cata (liste non exhaustive).

Deux exemples de potentiels narratifs :

Exemple 1 – L’événement :

Vous organisez une soirée tartiflette, vous êtes en train d’émincer les oignons et en même temps vous discutez au téléphone. Là patatras, vous vous entaillez la 1er phalange de l’annulaire. Le morceau de doigt tombe dans la casserole. Le plat et le doigt sont foutus. Au tel, votre interlocuteur crie à la cata. C’est le drame.

Les Potentiels narratifs :

Souvenez-vous : drame et cata font partie du champ lexical du potentiel narratif. De ce malheureux contre-incident, se dessine – en effet – un immense potentiel narratif recouvrant de nombreux domaines littéraires :

  1. Cuisine :  » Ma recette Tarti-doigt « 
  2. Astuce :  » Comment récupérer son émincé d’oignons sauce sanguinolente « 
  3. Bricolage :  » Couler un doigt dans une résine « 
  4. Histoires vécues :  » Une soirée aux urgences « 
  5. Policier :  » L’assassin au 4 doigts »  (il va de soit que vous tuerez votre interlocuteur – le tenant comme responsable de ce drame)
  6. Médical :  » Ma vie sans doigt « 
  7. Humour :  » Ma belle mère m’a sucé (le doigt en mangeant le plat) « 

Exemple 2 – L’événement :

Vous avez diné au restaurant avec votre sex-target. Elle vous propose de venir boire un dernier verre à la maison. Avant de « passer à l’acte » un passage à la salle de bain s’impose pour check up.  Vous vous videz la panse au toilettes. La soirée a été assez arrosée et le moule à cake risque de ne pas avoir pris. Au moment de tirer la chasse d’eau, c’est la panique : la cuvette se remplit d’eau noiratre qui déjà empuantit toute la pièce (comprendre tout l’appart si  » la maison « s’avère être un studio). Dans un geste de folie, vous plongez le balais brosse qui reste bloqué, planté comme l’épée de merlum au beau milieu de votre plus belle concrétion.

Les potentiels narratifs :

  1. Cuisine :  » 1000 recettes pour bien digérer »
  2. Bricolage :  » Déboucher des chiottes rien qu’avec un balais brosse « 
  3. Sex :  » J’ai basculé – par accident – dans le monde scato « 
  4. Policier :  » Je vous jure c’était un accident « 
  5. Médical :  » Ce que votre caca dit de vous « 
  6. Humour :  » Ma belle mère m’a sucé (le doigt) « 

Et vous qu’elles sont vos potentiels narratifs ? Témoignez.

Sexe : les hommes ne savent plus quoi faire de leur pénis

22 Jan
Les hommes ne savent plus quoi faire de leur pénis

La panne du désir

Aux troubles de l’érection et à la baisse de libido s’ajoutent dorénavant – et c’est nouveau – la panne du désir chez l’homme ! Alors, énième étiquette de sexologue en mal d’interprétation ou véritable syndrome d’une société féminisée, relayant les hommes à de brutaux objets sexuels ?

La panne du plaisir, comment la diagnostiquer ?
Pas besoin de revêtir votre tenue sexy d’infirmière pour diagnostiquer la panne de désir. Une analyse du comportement sexuel de votre homme suffit. Si la rigidité de son pénis est satisfaisante lors de vos préliminaires, mais que vous faites chou blanc la première fois, on ne s’inquiète pas. Si cela dure (disons plus d’un mois), c’est soit qu’il vous trompe soit qu’il est en panne de désir.

Quelles sont les origines de ces migraines d’homme ?
L’origine de la panne n’étant liée ni à un problème érectile comme l’impuissance, ni physique, ni mécanique alors c’est forcément… psychologique ? C’est une des thèses évoquées dans Psychologie magazine. Plusieurs pistes sont explorées par des médecins, sexologues et psychanalystes. A les lire, les migraineux seraient au choix – je schématise – soit des téléspectateurs trop assidus de films pornographiques, les poussant à la recherche constante de nouveaux stimuli, soit des frustrés du travail,  soit encore les victimes de femmes castratrices, trop entreprenantes et à l’orgasme exigeant. Votre homme aphanisis  ne remplit aucune de ces conditions et pourtant… Déjà c’est impossible, l’homme 0  porno n’existant plus  mais d’autres explications existes.

Il existe effectivement aussi une explication biologique : l’action des hormones – Ouf ! Je m’imaginais déjà en thérapie de groupe « Bonjour – ça fait un mois que je n’ai pas eu de sexe, j’appelle ma femme maman et je n’arrive plus à lui procurer de plaisir ».
Une petite baisse de testostérone et patatras !  Votre compagnon n’aura plus… enfin moins d’appétit sexuel.  Et, à force d’entendre parler des truites transsexuelles ou de l’impact des pesticides et autres résidus chimiques bourrés d’œstrogènes sur la sexualité des hommes, j’aurai aimé – pour moi et mes enfants, si d’ici là je ne tombe pas non plus en panne- que cette théorie soit un peu plus abordée.
Autre piste et non des moindres : les sentiments. On en parle que trop peu. Avons-nous si peur de parler d’amour ? A quand remonte d’ailleurs la dernière fois qu’il vous a dit « Je t’aime ? ». Et vous-même le lui avez-vous dit récemment ? Il semblerait que nous [les hommes] ayons peur de l’engagement car cela risque de nous faire souffrir. Or sans sentiment, point de plaisir. Et c’est un peu comme au travail, moins de plaisir, moins d’ardeur.

C’est grave docteur ?

Toutes les femmes ont déjà été confrontées à la panne sexuelle. Toutes connaissent d’ailleurs les “premiers soins” à pratiquer dans de telles circonstances, mais que faire lorsque le feu étalon avec qui on partage son lit rechigne à passer à l’acte ou agit comme un human-sex-toy bien encombrant ?

Les réponses se trouvent d’abord au sein du couple : il faut réapprendre à aller vers l’autre, l’écouter, le comprendre. Communiquer est le meilleur des remèdes. Poser les bonnes questions et trouver les réponses…ensemble. Un couple ce n’est pas deux être qui cohabitent mais une petite communauté, intime, avec son mode de fonctionnement propre, ses codes et ses désirs. Alors exprimez-les !
Si cela n’a pas suffit à raviver la flamme du désir,  il ne faut pas hésiter à consulter. En tout premier lieu un médecin. C’est lui qui vous orientera, après investigation, vers le spécialiste le plus approprié.

On fait quoi alors ?
La société – certes féminisée –  crée parfois ses propres démons. Si en sublimant la femme, l’homme perd ses repères, que dire de la gent féminine après des années de domination, mise en exergue par le film « La domination masculine »  et donc visiblement toujours d’actualité ?  A tout vouloir diagnostiquer, notre sexualité a du souci à se faire et les marchants de plaisir du business à marketer.
Notre seul vrai remède reste l’amour.
Cessons de répondre du tac au tac « Nous – 2, 3 fois par semaine ».  Reconcentrons-nous sur la notion de couple et ce que cela implique.  Réapprenons à séduire, nourrir le fantasme, le plaisir n’en sera que plus attisé et le désir reviendra. Soyez plus complices. Réappropriez-vous le corps de l’autre. Caressez-le. Sublimez votre partenaire et sachez pimenter votre relation car le plus romanesque de vos plaisirs devrait être celui de votre partenaire.